mardi, mars 11, 2008

Syndrome de la page blanche? Ben non!

Pour une rare fois depuis que j’ai commencé à écrire ce blogue, j’ai laissé passer quelques jours. En fait, ce n’est pas tant que je n’avais rien à écrire, loin de là. Mais avec quelques soirées un peu arrosées, où je me suis couché très tard, surtout dans la dernière fin de semaine. Dans ces conditions, je n’avais pas tellement d’entrain pour écrire. Surtout quand mes yeux se fermaient, lourds de fatigue…

Hier encore, ma journée a été très remplie. Je devais remplacer mon amie Judyth, grippée depuis samedi, à son poste de la réception. Ça été suffisant pour savoir que je suis très heureux de mon poste. Faire quelques heures par semaine à répondre au téléphone et aux visiteurs, pas de problème; une journée entière, ouf! Je suis désormais convaincu de l’importance de cet emploi, tant il est exigeant et pas si léger que cela. Je ne verrais plus ce boulot du même œil, c’est certain.

C’est pourquoi je me suis contenté de regarder un documentaire très intéressant, disponible sur Internet. Jesus Camp, apparu en 2006, a été entièrement numérisé et peut être vu sur le site Vidéo Google. Je sais qu’il peut être loué, pour avoir vu son contenant au club Vidéotron de mon quartier. Je vais revenir ce soir sur ce film assez troublant, dont les images m’ont laissé une impression de malaise.


Aucun commentaire: