jeudi, novembre 08, 2007

Sur quelques sujets.

J’ai posé cette question, sur le site connu, la semaine dernière. Bien sûr, c’étais le 1er novembre :
Que pensez-vous de René Lévesque, vingt ans après son décès? Avez-vous des souvenirs de lui, ou encore quelle image vous avez de cet homme?

Voici les réponses que j’ai obtenu :

« J'ai une affection pour lui qui remonte à mon enfance, avec des parents péquistes dans les années 70. Mais j'ai commencé à militer quand il a pris son virage à droite au début des années 80. Il vaut quand même dix fois Marois, Charest et Dumont réunis. » Benoît

« L'image mental que j'ai c'est la plaque de nos automobiles avec le slogan : Je me souviens dessus... Drôle d'association hein? » Tyna

« Si j'comprends bien, ce sera à la prochaine fois !!!! Snif snif!!! Je l'oublierai jamais même si j'étais encore toute petite ! » Judyth

« Je pense que j'avais 10 ans quand il est mort mais que "je me souviens" quand même très bien de lui... Ma mère l'admirait beaucoup pour sa politique mais ne manquait pas de souligner ses défauts humains... Comme plusieurs ne peuvent s'empêcher de faire. » Julie A.
« Il m'a beaucoup inspiré, sur la droiture et sur l'engagement que l'on pouvait avoir pour les siens. J'étais très jeune quand il était Premier ministre, il accompagne également beaucoup de souvenirs de jeunesse. » Alain

Pour les jeunes en Finlande…

Je n’aurai jamais les mots justes et nécessaires, pour exprimer mon désarroi devant un drame comme celui de Tuusula, en Finlande. Comment peut-on en arriver là, à dix-huit ans, se munir d’un arme, annoncer son massacre sur Youtube et finalement poser ce geste terrible, l’assassinat de sept jeunes garçons et filles et d’une professeure, avant de retourner l’arme contre soi-même? La Finlande, c’est si loin de l’Amérique du Nord et sa passion maladive pour les armes. Pour moi, c’est un lieu de paix, ou les gens sont encouragés très tôt à faire de la musique et s’exprimer dans les arts. Je m’intéresse pas autant que je le voudrais bien à ce pays, comme mon ami Éric, qui a appris le finnois, mais on dirais que ça m’a touché dans cet histoire dramatique. Ça ne devait pas arriver là, jamais. Comme ailleurs.

Message d’intérêt public


Des militants de Greenpeace escaladent un pont et installent des banderoles pour protester contre l’exploitation des sables bitumineux en Alberta

Chers sympathisants,En ce moment même, quatre militants de Greenpeace sont suspendus à la structure d’un pont, à plus de 40 mètres au-dessus des eaux de la rivière Saskatchewan nord, à Edmonton. Ils accrochent deux banderoles réclamant la fin de l'exploitation des sables bitumineux de la province. Greenpeace a organisé cet événement en ce jour d’ouverture de la session parlementaire albertaine. Ces banderoles sont bien visibles depuis le Parlement.Nous avons besoin de votre aide pour faire passer notre message avec encore plus de force.
Cliquez ici pour voir des photos et des vidéos de l’événement et obtenir plus de détails. Le coût environnemental de l’exploitation des sables bitumineux est extrêmement élevé. En fait, il s’agit d’une des pires sources d’énergie qui soient et les Albertains sont déjà victimes des conséquences environnementales et sociales de cette industrie dangereuse, polluante et destructrice. Pour atteindre le sol et permettre le passage des excavatrices géantes, on détruit des forêts anciennes qui constituent d’importants habitats pour les animaux sauvages. Si tous les permis demandés étaient accordés, l’exploitation des sables bitumineux couvrirait un territoire aussi vaste que celui de la Floride. L’exploitation des sables bitumineux est aussi la plus importante cause d’augmentation des gaz à effet de serre (GES) au pays. Et c’est en grande partie à cause de cette industrie que le Canada ne respecte pas ses engagements de réduction des GES dans le cadre du Protocole de Kyoto. D’ici 2020, l’exploitation des sables bitumineux produira deux fois plus de GES chaque année que l’ensemble des automobiles et des camions actuellement en circulation au pays. Compte tenu des conséquences des émissions de GES sur le réchauffement climatique, il est totalement irresponsable de la part du gouvernement albertain de continuer à promouvoir l’expansion des projets d’exploitation des sables bitumineux. Si les politiciens de la province se souciaient réellement de la santé de leurs citoyens et de l’environnement, ils prôneraient l’abandon de cette industrie au profit du développement d’énergies propres et renouvelables, comme l’énergie solaire, géothermique et éolienne. Les solutions existent : ce qui manque, c’est la volonté politique.Le problème des sables bitumineux ne concerne pas que l’Alberta. Les tonnes de GES émis lors de la production du pétrole se retrouvent dans l’atmosphère et ils affectent l’ensemble de la vie terrestre. L’exploitation des sables bitumineux constitue un crime contre l’environnement à l’échelle planétaire.
Aidez-nous. Agissez vous aussi!
Écrivez au premier ministre Stephen Harper pour lui demander de cesser immédiatement d’accorder des avantages fiscaux aux nouveaux projets d’exploitation des sables bitumineux. Demandez-lui aussi d’exiger que l’industrie atteigne les objectifs de réduction des émissions qui la concernent.
Halte aux sables bitumineux, Monsieur Harper!
Plus de détails au sujet de la campagne.


Merci à Marie-Claude L. pour m'avoir envoyé ces informations.

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