lundi, septembre 24, 2007

Un samedi au Mont Saint-Hilaire

Pendants quelques jours, cette semaine, j’ai jonglé avec la suggestion de mon amie Célyne, qui habite pas très loin de chez moi mais que je ne voit pas très souvent, de les accompagner au Mont Saint-Hilaire, afin de profiter des parcours offerts aux amants de la nature. Moi qui m’urbanise avec les années, je perd parfois de vue les possibilités offertes en dehors de l’île de Montréal. Hormis les randonnées en vélo, je n’ai pas énormément eu d’occasion de me dégourdir les jambes. J’ai finalement accepté de les accompagner, Célyne, son chum Francis et Annie, une amie de Célyne, qui nous a conduit dans sa voiture jusque dans ce lieu très fréquenté, au son de la musique et des chansons de Tryo.

Une fois sur place, après quelques détours en voiture dans le village, afin de ne pas faire mentir l’adage voulant que les femmes n’aient pas trop le sens de l’orientation (c’est pour rire…vous n’êtes pas obligées de me poster des quolibets, les copines!), j’ai réalisé très vite que j’avais très bien choisi ma paire de chaussures pour l’occasion. Mon investissement dans des bottes militaires, l’an dernier, s’est avéré amplement justifié. C’est donc dans l’enthousiasme que nous avons décidé de marcher quelques kilomètres, même dans quelques chemins escarpés. Sans le vouloir, nous avons parcouru les deux sentiers les plus difficiles, le Dieppe et le Rocky, afin de rejoindre le sommet nord du mont. Je vous laisse juger de notre périple, d’après ces photos…

En revenant, nous nous sommes payés le luxe d’un souper aux Trois Brasseurs, dans le quartier latin, puis quelques pichets de bières et de sangria au Saint-Sulpice, pour finir dans la cour arrière des Foufounes Électriques. C’est ce qu’on appelle un samedi réussi…ce qui m’a fait décider de sauter le dernier dimanche du PikNik électronique, quand j’ai réalisé qu’il serait bon de me reposer un peu…
Les photos viennent de la caméra de Célyne, que je remercie en passant, de même qu’Annie, qui nous a permis de se rendre dans ce merveilleux endroit…


Moi et Francis, à droite, subjugués par la vue sur Beloeil

Annie et Célyne, profitant du soleil et surtout du vent...

Francis, Annie et moi, dans une pose christique.

Moi encore, qui vient de réaliser que je n'ai pas payé Hydro-Québec depuis deux mois...
Doom3

Quelques-uns parmi vous, chers lecteurs, sont des amateurs de sensations fortes sur ordinateurs. Je m’adresse ici au « gamers », et non aux accrocs de la porno sur Internet! Ou encore à ceux qui ont aimé le film Doom. Je n’ai pas vu ce film, mettant en vedette l’ancien lutteur The Rock, mais je suis certain qu’il doit reprendre essentiellement l’histoire de base du jeu de ce nom.

J’ai fini par comprendre comment on pouvait installer les cracks, pour pouvoir jouer avec la copie piratée que j’ai depuis plusieurs années et qui ne m’avait pas encore servi… j’ai enfin pu profiter de ce jeu mythique. Autant dans les premières versions du début des années 90, où j’ai passé quelques nuits blanche, autant la nouvelle mouture de 2004 reprend une sordide histoire alliant le fantastique et la science-fiction. Sur la planète Mars, en 2145, dans une base d’une colonie terrienne peuplée de militaire, de techniciens et de scientifiques, une expérience secrète tourne au désastre et libère des esprits maléfiques directement venus des Enfers, accompagnés de bêtes monstrueuses. La majeure partie des occupants de la base est transformée en zombie, d’autres voient leurs corps possédés par ces esprits démoniaques. Dans le jeu, on personnifie un Marine, envoyés en relève et récemment arrivé sur la base. En personnifiant ce personnage, le joueur est plongé dans un univers sombre et étouffant, entrecoupé par des kilomètres de couloirs et de tunnels, peuplés d’êtres immondes voués à nous charcuter…
Mon expérience des jeux de rôle et d’action sur ordinateur ne m’a pas empêché de profiter pleinement de ce jeu et surtout, de me permettre quelques sursauts…



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