mardi, octobre 09, 2007

Rires canadians...

Mon amie Marie-Claude, qui est parfaitement bilingue, m’a envoyé ce monologue d’un humoriste torontois d’origine indienne, que j’ai adoré. Je tenais à partager avec vous ce moment…



Le mal-aimé

J’ai posé cette question, l’autre jour, sur le site connu. Elle m’a donné plusieurs réponses savoureuses.

La question : Stéphane Dion va-t-il rester chef du PLC encore longtemps?

« Je dirais jusqu'aux prochaines élections. Il a gagné la course à la chefferie, mais pas le cœur des québécois, même s'il se dit "vert" (seul point positif au tableau). » Marie-Claude L.

« Bien là. Je vois pas pourquoi il devrait partir. Il a juste à attendre les élections et le peuple Québécois va lui montrer la porte!!! » Marlène G.

« Je pense qu'on va avoir des élections fédérales cet automne. La survie politique de Dion dépendra des résultats de son parti. Le meilleur cas concevable serait un gouvernment libéral minoritaire. Alors il pourrait s'accrocher. Sinon: la porte! » Benoît R.

« La politique électoraliste canadienne et québécoise a du plomb dans l'aile ces dernières années... Si Dion se réajuste pas d'ici les probables élections automnales, il risque de se faire poignarder dans le dos par ses adversaires libéraux... » Patrice V.

« Je ne pense pas. Il y a quelque chose d'un peu hautain chez lui qui ne touche pas le peuple quebecois. » Pascale B.

« J'espère juste pas.....on est mal barré de part et d'autre... Selon Céline Hervieux-Payette..oui !!! » Marie-Claude M.

« Je ne pense pas! Il est tres froid et loin des gens et je ne trouve pas qu il est un tres bon communicateur. Au moins, Jean Chretien avait le merite de nous faire rire par ses niaiseries. Lol » Mélanie L.

« Stephane qui? » Julie A.




Crétin!!!

Il y a un politicien que j’apprécie encore moins que les autres, c’est l’actuel ministre des affaires étrangères, Maxime Bernier. Voici ce que rapportait la Presse canadienne :

KANDAHAR, Afghanistan - Le ministre canadien des Affaires étrangères, Maxime Bernier, a conclu une visite éclair en Afghanistan, dimanche, en reconnaissant que le pays demeurait un endroit dangereux.

M. Bernier a cependant insisté sur le fait que des progrès avaient été réalisés, se disant fier du travail accompli par les soldats canadiens dans ce pays d'Asie centrale.

"C'est difficile. Oui, je le reconnais", a-t-il déclaré à des journalistes sur la piste du terrain d'aviation de Kandahar, juste avant qu'il ne monte à bord de l'avion qui devait le ramener au pays en compagnie de la ministre de la Coopération internationale, Bev Oda. (…)

Lors de leur séjour, Mme Oda et M. Bernier se sont par ailleurs entretenus avec le président afghan Hamid Karzaï, à Kaboul. Ils ont également rencontré des soldats canadiens dans un restaurant situé sur la base aérienne de Kandahar. Puis, ils ont distribué des gâteaux Jos Louis, de Vachon, dont les installations sont situées dans la circonscription de M. Bernier, aux troupes qui se trouvaient sur une base située 40 kilomètres à l'ouest de Kandahar.

Vous avez bien lu…quand on sait que plusieurs soldats ne reviendront pas, ou encore reviendront avec de grave séquelles psychologiques, que l’armée canadienne refuse de reconnaître, c’est d’une indécence inouïe!

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